Le press club des candidats et le rythme effréné des primaires

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Les journalistes correspondants des candidats aux primaires mènent un rythme que peu de personnes soupçonnent. Appartenir au press club est une reconnaissance d'un extrême professionnalisme mais au prix d'un acharnement et d'une ténacité hors du commun. Les voyages sont permanents.

Sondages : Mitt Romney est aujourd'hui jugé comme le candidat qui gèrerait le mieux les États-Unis s'il avait gagné la présidentielle 2012 (référence sondage Quinnipiac University ).

La cadence est exceptionnelle. Et il faut rester toujours en veille. Les déplacements aux longues distances s'enchaînent.

C'est un test de professionnalisme pour accéder directement aux candidats et à ses conseillers.

Cette cadence, c'est le prix à payer pour disposer de "off", rencontrer les candidats à l'arrière de l'avion, comprendre les tempéraments.

Leur endurance mérite d'être souligné car il est peu concevable d'imaginer leur rythme et leurs contraintes.

  • Publié le 16 février 2016

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