Isère : Alexandre Kolow demande de nouvelles règles pour 2014

Alexandre Kolow appartient à la jeune garde iséroise du Parti Radical de Jean Louis Borloo. Avec d'autres jeunes responsables à l'exemple de Grégory S-Valery, Alexandre Kolow appartient à une génération talentueuse et déterminée qui ne se résigne plus aux défaites à répétition.

Dans l'Isère, le Parti Radical peut compter sur une forte tradition. Ce fut le cas longtemps sous la férule de Robert -Jules Laurent, remarquable plume ayant été grand éditorialiste au Dauphiné Libéré.

Son actuel leader, François Gilabert, est un humaniste respecté, ayant une forte connaissance des dossiers locaux et un souci reconnu du dialogue comme du social.

C'est une composante des forces politiques iséroises appelée à jouer un rôle de premier plan.

Alexandre Kolow qui devrait engager le combat électoral dans une importante Commune de la 5 ème circonscription de l'Isère demande de nouvelles règles pour 2014 dans des termes clairs :

"Les petits clans qui se font la guerre au sein de l'UMP 38 portent l'entière responsabilité des défaites successives de la droite et du centre dans notre département.

A l’exception de quelques circonscriptions où la droite a réalisé des scores très honorables (la 9ème ou la 4ème par exemple) d’autres circonscriptions (la 5ème pour ne pas la nommer) ont vu le candidat de la droite se faire littéralement écraser par le candidat de gauche.

Pourquoi ? Parce que la démocratie au sein de l’UMP n’a jamais été respectée.

Dans certaines circonscriptions, le parti a envoyé des candidats «pistonnés» par des élus bien implantés à Paris au lieu d’organiser de véritables primaires afin de déterminer le meilleur candidat possible pour gagner face à la gauche.

La débâcle qui a eu lieu sur la 5 ème circonscription en est la preuve.

En cas de primaires, le candidat aurait eu toute la légitimité nécessaire et aurait bénéficié d'un vrai élan pour sa campagne. Jamais un candidat de droite n’avait réalisé un si mauvais score sur cette circonscription. Les dés étaient pipés dès le départ.

Plusieurs mois avant l’élection, il avait déjà été décidé en interne qui serait le candidat de l’UMP sans aucune consultation des militants et en le laissant aucune chance à tout autre candidat à la candidature.

On voit aujourd’hui le résultat d’un tel déni de démocratie ! Un député sortant réélu avec un score à la Soviétique… Tant que l’UMP 38 n’aura pas fait le ménage dans ses troupes, aucune victoire ne sera possible ni pour la droite, ni pour le centre !"

  • Publié le 21 juin 2012

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