Grenoble agglo 2014 : le Club 20 fête ses 200 000 visites pour ses dossiers du Changement

En juillet 2011, date de lancement du Club 20, personne n’aurait parié sur un tel succès d’audience.

A quoi tient-il ?

Le Club 20 a pris le pari de nombreuses ruptures avec les pratiques locales habituelles.

Première rupture : depuis le début des années 2 000, la vie publique locale était empêtrée dans des polémiques personnelles vives dans l’agglomération grenobloise au sein de l’opposition locale en « casse de vaisselles » permanente sur la voie publique.
A l’opposé de cette habitude locale, le Club 20 ne s’est occupé que des idées, encore des idées, toujours des idées.

Seconde rupture : là encore, les habitudes étaient de s’occuper du passé. Le Club 20 ne parle que d’avenir. D’ailleurs, lors de son lancement en juillet 2011, le titre de son annonce de lancement était ... : « à l’avenir ! ».

Troisième rupture : des partis politiques locaux sont devenus des « clubs de fans » postés dans des tranchées quasi-inamovibles. A l'opposé toujours, le Club 20 donne la prime au collectif. Il n’est pas question de « candidatures individuelles » et plusieurs personnalités pourraient prochainement faire actes de candidatures. Probablement au printemps prochain parce que, dans l’attente, l’étape est à … l’écoute.

C’est la quatrième rupture : ne pas vivre un « prêt à penser » mais, à partir de propositions concrètes (au nombre déjà de 85), organiser des soirées thématiques d’écoute.

Il y a encore bon nombre d’autres ruptures à l’exemple du parti pris de communication via Internet avant de commencer il y a 15 jours une « communication papier » lors des visites sur le terrain qui s’accélèrent.

Ces ruptures concernent y compris les relations avec les corps intermédiaires où se croisent et se recroisent les professionnels de la politique depuis si longtemps. Le Club 20 a fait le choix du contact direct avec les citoyens à l’écart des méthodes qui, il est vrai, avaient conduit les candidats de l’opposition locale à tant de cuisantes défaites à répétition.

Jusqu’où ira cette volonté des contrastes ?

C’est l’interrogation d’une équipe composée de membres de la société civile, animée par Denis Bonzy, et qui entendent changer la vie publique locale.

C’est une version moderne des GAM qui ont fait une partie de l’histoire de l’agglomération grenobloise. Une méthode qui a donné naissance en 13 mois au think tank n°1 de l’agglomération grenobloise, par ses audiences, par ses membres actifs, par ses publications et qui fête aujourd'hui les 200 000 visites à ses seules publications techniques thématiques.

  • Publié le 29 septembre 2012

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