Grenoble municipales 2014 : Gilles Dumolard et l'attitude innovante positive

Non Grenoble n'est pas là que pour s'inscrire à la "une" des faits divers des violences urbaines. Le jour même où des entrepreneurs lancent un appel national pour un engagement plus fort dans la vie civique, Gilles Dumolard répond présent par l'exemple et s'engage dans les élections municipales 2014 de Grenoble.

D'abord, Gilles Dumolard incarne près de 10 ans de responsabilités économiques au plus haut niveau : 6 ans à la tête de la Fédération du Bâtiment et des Travaux Publics, 3 ans à la tête de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Grenoble. Sur Grenoble, c'est le Chef d'Entreprise le plus connu, associé depuis 10 ans à tous les grands projets qui ont fait avancer l'emploi dans la Capitale du Dauphiné.

Ensuite, à la tête des organismes en question, c'est un bilan extrêmement positif. L'Ecole Supérieure de Grenoble est devenue une référence nationale où se prépare l'économie donc l'emploi de demain. Il a été l'un des animateurs les plus dynamiques et motivés de Grenoble J0 2018 pour porter le "grand projet" qui permettrait d'accélérer les grands travaux grenoblois et d'obtenir des aides d'Etat à un niveau impossible dans d'autres cadres. C'est le Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie qui a rencontré les commerçants sur le terrain quotidiennement. Une qualité de proximité qui est un point fort de son tempérament marqué par les valeurs sportives du rugby, sport qu'il adore.

Enfin, c'est un engagement qui porte une attitude innovante positive parce qu'il ouvre trois batailles essentielles :

1) la bataille du contenu : l'entrepreneur veut des idées, des projets, de la substance. Il ne veut ni de spectacle ni de guerre des egos,

2) la bataille des actes et non pas celle des mots : il refuse la société des images, celle des "petites formules". Il demande des idées, des vraies,

3) il laisse au vestiaire les "sous-entendus" : son message est clair, explicite. Il précise : "Les crises que nous traversons n’ont pas besoin d’infirmiers pour panser les plaies dans l’attente d’avoir d’autres blessures à soigner. Il faut des guerriers qui veulent combattre ces crises avec courage, avec détermination, avec volonté de réussir.
Les politiques locaux doivent avoir une seule assurance : nous venons d’entrer sur le terrain. Nous n’allons pas le quitter pour ensuite regarder le match ou pour couper les citrons sur les bancs.

Nous, le terrain, nous le connaissons. Ou ils nous donnent des garanties que demain ira mieux. Ou le terrain, on va l’occuper et la partie de 2014 nous allons la livrer sous notre propre maillot.

Il n’y a pas de chantage, pas d’avertissement en l’air mais un parler vrai.

Ce n’est pas à mon âge que je vais commencer à prendre des virages pour dire ce que je pense.

J’aime les lignes droites, courtes où l’on sait où l’on va sans se poser des questions à chaque intersection.

Demain doit aller mieux.

C’est notre seule ambition.

Les Grenoblois et les habitants de l’agglomération peuvent compter sur nous pour qu’il en soit ainsi, avec eux, à leurs côtés, dans la clarté et en prenant toutes nos responsabilités."

La bataille des municipales 2014 dans la Capitale du Dauphiné vient de vivre un tournant avec l'implication des entrepreneurs qui font entendre pour la première fois à ce point : "nous sommes là !".


  • Publié le 6 octobre 2012

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