Bruno Retailleau et le temps qui passe

  • Bruno Retailleau

La fête donc le ... chaos : l'article ci-dessous date de 1990. Comme depuis cette époque, rien n'a été fait, tout prend désormais une autre ampleur. 1993 : Marseille gagne = la fête. 1998 : La France gagne la coupe du monde = la fête. Maintenant la fête c'est le chaos. C'est un rituel ! Une rage explose. Les politiques parlent, jouent toujours avec les mêmes mots. Mais après ... rien.

Banlieues 1990

Les médias : selon la chaîne choisie on sait à l'avance ce qu'ils vont dire. Pour les uns c'est le drame absolu tandis que pour d'autres c'est à peine si les faits ont existé. Et à chaque reprise, c'est le même "cirque". Notre pays devient ainsi une terre de problèmes graves jamais sans la moindre solution. Comment en sortir ?

Bruno Retailleau est confronté à un sérieux enjeu : le temps qui passe. Chaque semaine écoulée suscite une question : quoi de plus efficace ? Il y a le temps pour le diagnostic, pour les mots mais il doit aussi y avoir le temps pour les résultats. Chaque résultat différé, c'est un passif pour Bruno Retailleau.

  • Publié le 3 juin 2025

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