Que Nicolas Sarkozy s'inspire aussi de cette facette de la démocratie américaine
Le voyage de Barack Obama en Irak est un formidable exemple d'une démocratie américaine qui reconnaît son opposition. Imagine-t-on Ségolène Royal au printemps 2007 bénéficiant des moyens de l'armée pour mener un tel déplacement et rencontrer la hiérarchie militaire ?
La démocratie Française vit mal son opposition sur le plan national comme sur le plan local.
L'opposition est caricaturée, marginalisée, coupée des informations importantes.
La démocratie anglo-saxonne vit une reconnaissance permanente de l'opposition y compris dans son accès à la haute administration. Le "shadow cabinet" à la britannique est une belle formule de responsabilisation de l'opposition.
C'est une facette que la France pourrait reprendre à son compte.