Le PS devient-il le "parti souffre douleur" ?
Les dernières déclarations de Daniel Cohn-Bendit ce matin sur les dirigeants du PS dans la préparation des régionales traduisent un quasi-statut de "souffre douleur" pour ce parti. La mode est à la critique du PS supposé incarner tout ce qui ne marche pas dans la vie politique Française.
L'appartenance au PS est actuellement une moins value manifeste. Ce parti devient le souffre douleur de la politique Française.
Chacun s'affirme sur son dos. Ceux qui le quittent. Ceux qui le combattent et même ceux qui savent qu'ils devront faire ... alliance avec lui.
Le PS est devenu un objet de critiques sans limite. Il est de bon ton de s'en dissocier. C'est "la marque repoussoir". "Ne pas être comme le PS" devient un gage de sérieux.
Combien de temps encore ce parti peut-il se permettre de devenir ainsi le "paillasson" de la vie politique Française nationale ?
Cette situation nationale peut-elle demeurer encore longtemps sans impact sur le local ? On peut en douter désormais.
Ce parti est confronté à une chute d'image de marque qui ne peut plus ne pas impacter son audience électorale y compris locale.