Martine Aubry face à une crise d'ados ?
Les incompréhensions actuelles ne traduisent-elles pas d'abord un comportement généralisé d'ados qui vivent le "moi d'abord" ?
Le PS prépare mal l'avenir de sa jeunesse.
Il s'expose à tous les griefs que ceux de la société exposée au même défi :
- une situation anxiogène qui grossit les catastrophes éventuelles en l'espèce les défaites à venir,
- une explosion de la société de consommation de communication. Chacun ajoute sa formule, sa critique, son commentaire. La "petite phrase" bien ciselée est l'équivalent du texto,
- et surtout la demande de rupture générationnelle mais sans savoir précisément pour aller où.
On y retrouve même le "désir de devenir quelqu'un".
C'est étonnant qu'un philosophe comme BHL ait vu dans ce "climat" une situation de "mort". N'est-ce pas d'abord une crise d'ados ? Si tel devait être le cas, serait-ce plus rassurant ?