Denis Payre à Grenoble le 24 février : l'ennui n'est pas au programme !
L'année 2014 démarre en trombe pour le Mouvement Nous Citoyens présidé par Denis Payre.
Nous Citoyens poursuit son développement rapide et se positionne déjà comme l'un des 10 premiers mouvements politiques de France avec 6 000 adhérents et près de 12 000 sympathisants.
Nous Citoyens a annoncé la labellisation de 6 nouvelles listes à Paris (dans les 4ème, 12ème, 13ème, 15ème, 16ème et 18ème arrondissements). En régions, le processus de labellisation suit son cours avec 12 nouvelles listes : Bagnols-sur-Ceze, Blois, Caluire-et-cuire, Clermont-Ferrand, La Rochelle, Meudon, Ploemeur, Saint-Maur-les-Fossés, Saint-Raphaël, Trappes, Versailles et Wissous.
Nous Citoyens veut contribuer au renouvellement de la vie politique tant au niveau national qu'au niveau local et souhaite lutter contre certaines de ses dérives : professionnalisation à outrance, manque de représentation de la société civile, clientélisme, dépenses injustifiées et peu conformes aux attentes des citoyens.
Ces listes s’engagent sur une charte de transparence, de représentativité, de bonne gestion / gouvernance municipale.
Dans ce programme, Denis Payre sera à Grenoble le lundi 24 février 2014 pour une visite sur le terrain qui s'annonce très chargée, consacrée en grande partie à des sujets de solidarités.
Grenoble où la liste Nous Citoyens conduite par Denis Bonzy prend progressivement le leadership de l'opposition locale. Elle est menée par un Chef d'entreprise donc un membre de la société civile mais qui a l'expérience des campagnes électorales puisqu'il a déjà été élu dans des géographies difficiles au sud de l'agglomération grenobloise et que la conduite des campagnes électorales est l'une des matières qu'il enseigne. Il mène une campagne imaginative, moderne qui progressivement creuse l'écart dans une géographie où l'UMP est très fragilisée par les affaires et âr ses querelles internes anciennes toujours très impactantes.
D'ailleurs les leaders nationaux de l'UMP ne s'y trompent pas. Ils placent Grenoble comme une étape rapide mais n'inscrivent pas leur meeting public de référence comme le prouvent les programmes de François Fillon et de Jean François Copé.