Gary Vaynerchuk et la vitamine de l'espoir
La semaine dernière, la conférence de Gary Vaynerchuk a été un grand succès. Un de plus. Que propage cet entrepreneur : la vitamine de l'espoir.
Gary Vaynerchuk est le tempérament qui résume à lui seul, par contrastes, les problèmes d'un pays comme la France : ne plus laisser d'espace au rêve.
Son premier rêve a été de devenir riche. Il l'est devenu en multipliant par plus de 10 le CA de l'entreprise familiale grâce aux réseaux sociaux.
Avec ce premier succès, Gary Vaynerchuk a créé une société de capital-risque et une agence de médias sociaux.
Puis, depuis plusieurs années, il a exposé son nouveau rêve : devenir propriétaire des Jets de New York. Un rêve à plus d'un milliard de dollars !
Mais il construit avec patience la façon de concrétiser ce rêve et probablement, une fois parvenu, il modifiera en profondeur le fonctionnement de ces grandes marques jusqu'alors gérées par des investisseurs qui ont réussi dans des carrières traditionnelles : immobilier, finances ...
Or le terrain de succès de Gary Vaynerchuk, c'est l'appartenance communautaire. Avec une telle enseigne et sa qualité dans les réseaux sociaux, Gary Vaynerchuk peut écrire une page nouvelle du sport professionnel grand public.
En attendant, il vend du rêve, de l'optimisme, de l'ambition. Et il le fait avec un succès et un enthousiasme contagieux.
Le jour où l'économie française comptera ses premiers Gary Vaynerchuk elle aura tourné une page dans sa morosité ambiante et dans la reconnaissance de l'esprit d'entreprise.