Isère : Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné deviennent un dynamique magazine de territoire
Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné sont de longue date un hebdomadaire de référence en Isère. Ayant longtemps appartenu à la "famille Cellard", ce magazine d'annonces légales a ensuite été repris par un dynamique entrepreneur, Dominique Verdiel, qui vient de changer totalement de look s'étoffant significativement pour devenir un réel magazine de territoire.
Un magazine de territoire, c'est quoi ? C'est un magazine qui contient toutes les informations qui font la vie diversifiée d'un territoire. L'Isère a longtemps eu une information très active en complément de son quotidien régional de référence qu'est le Dauphiné Libéré. Des entrepreneurs imaginatifs comme Paul Dini (Actualité Dauphiné) ou Jean Charles Lignel ont longtemps été à la tête de magazines très actifs en Isère.
Puis une période de disparition des titres est intervenue. Une période remarquablement traversée par les Affiches de Grenoble et du Dauphiné. Aujourd'hui, cet hebdomadaire s'ouvre à un nouveau défi : couvrir la diversité de l'information locale bien au-delà de la seule économie dont les annonces légales. Et avec cette nouvelle ligne éditoriale, le "premier" numéro de cette nouvelle formule est particulièrement réussi. Pour rappel, cet hebdomadaire est au numéro 4 831, un chiffre qui a lui seul est toute une référence.
Une vitalité qui rassure toutes celles et tous ceux qui sont attachés au pluralisme des supports d'informations. Au moment où, sur un autre créneau éditorial, un nouveau titre s'est installé, Le Postillon. Un périodique qui, avec un regard décalé, couvre les sujets de l'agglomération grenobloise avec un succès certain puisqu'il a franchi le seuil significatif des 3 000 ventes dans les seuls points presse de l'agglomération grenobloise. La force du Postillon réside dans un regard très incisif sur des sujets locaux sérieux avec des plumes impertinentes et de grande qualité de style.
Avec des supports différents de ce type, la "presse papier" montre, si besoin était, qu'elle a de beaux jours devant elle. Et c'est particulièrement positif qu'il en soit ainsi.