Ségolène Royal est devancée par Dominique Strauss Kahn
Ségolène Royal doit affronter des temps difficiles. Il est vrai qu'elle s'emploie à troubler son image. L'annonce de sa rupture comme son désengagement face à des points majeurs de son contrat présidentiel ne peuvent que la conduire à des appréciations sévères de la part de l'opinion publique.
Ségolène Royal innove sur des terrains délicats.
Elle annonce par communiqué, presque par simple fax, sa rupture avec son compagnon dans des formes dignes d'un "licenciement sec".
Puis, dans la foulée, elle dénonce des engagements de son propre programme présidentiel.
Dans ces circonstances atypiques, il ne pouvait faire aucun doute que l'opinion émettrait quelques "réserves".
Elle cède la place à DSK dans une enquête pour incarner le leadership socialiste.