Christian Estrosi participe à la politique du grenadage contre Sarkozy
Christian Estrosi n'en démord pas : l'UMP va mal. Il remet une couche aujourd'hui et ajoute à cette politique généralisée du grenadage contre Sarkozy qui le fragilise terriblement.
La question est simple : reste-t-il une personne pour trouver aujourd'hui que quelque chose marche encore dans les instances politiques de décision de la France ?
Les parlementaires de la majorité sont en fronde ouverte. L'opposition joue les commentateurs satisfaits, presque désolés du niveau de pagaille. Même les "fidèles" du Président comme le Maire de Nice apportent leur pierre au grenadage quotidien qui sévit.
Ce grenadage est pourtant suicidaire pour la majorité. L'opinion a le sentiment que les jeux politiques ont pris trop de place. Il n'est plus question de pluralisme d'expression mais de critiques, de couacs ou pire encore de fronde.
Bref, à un an de l'élection, le climat est sombre. A Vienne, même si les instances municipales de l'UMP avaient mobilisé, les sifflets neutralisaient les applaudissements et ce dans une géographie politiquement favorable.