Nicolas Sarkozy ou trop de faiblesse avec les forts
Alors que le prétendant à l'Elysée bravait les puissants au premier rang desquels le Chef de l'Etat de l'époque et jouait au Robin des Bois défendant les personnes fragiles détroussées par la "racaille" dans les banlieues ; le nouveau Président apparaît désormais bien indulgent avec les puissants comme le montre notamment l'impunité des banquiers fautifs.
Trois sujets "corrigent" actuellement l'image du Président auprès de l'opinion dans son rapport avec les "puissants" :
1) la réforme de l'audiovisuel est perçue comme un "cadeau" à TF1,
2) Le travail le dimanche est ressenti comme un service à la grande distribution,
3) Les banquiers qui devaient "donner l'exemple" accumulent les pertes fautives sans conséquence et ne participent que peu à la relance économique.
L'ardoise cumulée de ces faits modifie significativement l'image du Président face à ces réseaux.