Ségolène Royal et le défi du 18 septembre
Dans 56 jours, l'opinion internationale va découvrir que l'opinion de la première puissance au monde a décidé une percée historique de candidates accédant à des responsabilités de premier plan. Dans ce climat, comment peut rebondir celle qui, en 2006, avait incarné en France ce "pouvoir féminin" supposé changer la vie politique ? C'est le défi du 18 septembre pour Ségolène Royal.
Le séisme politique du 2 novembre s'annonce considérable.
Dans de nombreuses élections de premier plan, les femmes vont prendre le pouvoir comme Sénatrices, Gouverneurs ...
Elles ont su surfer sur des nouvelles tendances.
Trois courants actuels profonds accordent aux valeurs féminines un avantage certain dans les circonstances modernes.
- La société n'attend ni la conformité ni la rupture brutale mais la transformation douce.
- La société aspire à des changements pratiques immédiats et non pas à des objectifs généraux lointains.
- Le besoin de confiance quand tout est perçu comme menace. Le besoin de confiance est la forme de protection qui traduit une aspiration plus forte que jamais à la sécurité comme assurance contre les risques généralisés qui nous guettent.
Ce "territoire" a bien correspondu bien au parcours 2006 de Ségolène Royal.
Mais, à la différence de 2007 en France, ces candidates américaines ont su transformer en 2010 le désir de candidatures en désir ... d'élections.
Comment expliquer ce processus ?
Quelles différences avec la situation française de 2007 ?
Cette évolution est-elle aussi possible en France ?
Telles sont quelques unes des questions traitées par notre lettre 231.
Pour en prendre connaissance en intégralité et de façon gratuite, il suffit de cliquer sur le lien suivant : BlogExprimeo