Benoit Hamon et l'argent qui ruisselle ...
Benoit Hamon est revenu ce jour à la base de ses classiques en dénonçant les déplacements présidentiels.
Il retrouve les accents de François Mitterrand quand il fustigeait "l'argent qui ruisselle".
Mais il serait nécessaire que le PS s'explique aussi sur certains déplacements de son candidat dans des collectivités locales. Le cortège des voitures officielles, elles aussi probablement payées par les contribuables, donne-t-il lieu à dédommagement de la part du PS ou ce cortège est-il à l'écart du parc des voitures officielles des collectivités locales ?
Pour disposer de la crédibilité morale nécessaire, il serait bon que le porte-parole du PS s'exprime aussi sur ce volet là des dépenses de campagne éventuellement injustement mises à la charge des contribuables.